Dates / Durée du projet
Janvier 2024 - Décembre 2026 / 3 ans
Domaine(s) d'action :
Lutte contre la déforestation Connaissance de la biodiversité Conservation d'espèces menacées
Branche : 
Monaco
Localisation :
Bénin
Porteur(s) du projet :
Louvain Coopération au développement ASBL
?D'après l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, l'Afrique a perdu près de 500.000 hectares de ses mangroves au cours des vingt-cinq dernières années. Or les zones de mangroves représentent une richesse biologique fondamentale et un rôle majeur pour l’économie compte tenu des ressources qu’elles procurent aux populations. Les mangroves sont en réalité des écosystèmes spéciaux car étant parmi les plus fragiles et les plus importants écosystèmes forestiers tropicaux qui fournissent plusieurs ressources et services essentiels et qui jouent un grand rôle dans la résilience des écosystèmes aquatiques et côtiers.
Cette richesse tend à décliner sous l’action combinée de facteurs naturels, du changement climatique et de l’action humaine. Les facteurs de dégradation sont entre autres : la salinité, la sécheresse, la surexploitation des ressources, les activités hydro-agricoles (rizières), les activités touristiques agressives, le manque d’initiatives locales de protection, de conservation et de restauration des mangroves. Les besoins fondamentaux des populations (alimentation, activités génératrices de revenus issues de l’exploitation de produits ligneux et non-ligneux, halieutiques, pharmacopée…) sont donc impactés par le recul de la mangrove. De plus, les groupes les plus pauvres et les plus vulnérables ont tendance à être les plus dépendants de ces services écosystémiques.
Au sud du Bénin, en deux décennies, les mangroves ont perdu près du tiers de leur superficie, le recours aux palétuviers pour les activités de pêche et la saliculture en sont les facteurs principaux, d’autres menaces nécessitent des actions urgentes.
Le projet de Résilience socio-écologique des mangroves au Bénin a comme objectif que les communautés locales vivant à proximité des écosystèmes de mangroves améliorent leur bien-être et la préservation de leur milieu.
Les résultats attendus portent sur l’amélioration des droits, des politiques en faveur et de la gouvernance des écosystèmes de mangroves. Un travail de sensibilisation, d’amélioration des connaissances et des compétences concernant les écosystèmes de mangroves est également prévu. Enfin, l’accent sera mis sur la conservation et la restauration des écosystèmes de mangroves et le renforcement des capacités des partenaires locaux en matières techniques, financières, économiques, sociales, environnementales et institutionnelles.
La mise en œuvre de ces différents résultats repose sur cinq approches : i) action de proximité, sensibilisation et autonomisation ; ii) lobbying et défense des intérêts ; iii) recherche et gestion des connaissances ; iv) conception et mise en œuvre des meilleures pratiques de conservation et de restauration des mangroves et v) renforcement mutuel des capacités.
Cette richesse tend à décliner sous l’action combinée de facteurs naturels, du changement climatique et de l’action humaine. Les facteurs de dégradation sont entre autres : la salinité, la sécheresse, la surexploitation des ressources, les activités hydro-agricoles (rizières), les activités touristiques agressives, le manque d’initiatives locales de protection, de conservation et de restauration des mangroves. Les besoins fondamentaux des populations (alimentation, activités génératrices de revenus issues de l’exploitation de produits ligneux et non-ligneux, halieutiques, pharmacopée…) sont donc impactés par le recul de la mangrove. De plus, les groupes les plus pauvres et les plus vulnérables ont tendance à être les plus dépendants de ces services écosystémiques.
Au sud du Bénin, en deux décennies, les mangroves ont perdu près du tiers de leur superficie, le recours aux palétuviers pour les activités de pêche et la saliculture en sont les facteurs principaux, d’autres menaces nécessitent des actions urgentes.
Le projet de Résilience socio-écologique des mangroves au Bénin a comme objectif que les communautés locales vivant à proximité des écosystèmes de mangroves améliorent leur bien-être et la préservation de leur milieu.
Les résultats attendus portent sur l’amélioration des droits, des politiques en faveur et de la gouvernance des écosystèmes de mangroves. Un travail de sensibilisation, d’amélioration des connaissances et des compétences concernant les écosystèmes de mangroves est également prévu. Enfin, l’accent sera mis sur la conservation et la restauration des écosystèmes de mangroves et le renforcement des capacités des partenaires locaux en matières techniques, financières, économiques, sociales, environnementales et institutionnelles.
La mise en œuvre de ces différents résultats repose sur cinq approches : i) action de proximité, sensibilisation et autonomisation ; ii) lobbying et défense des intérêts ; iii) recherche et gestion des connaissances ; iv) conception et mise en œuvre des meilleures pratiques de conservation et de restauration des mangroves et v) renforcement mutuel des capacités.
